alors que le dialogue impose que l’on se parle, voici une direction qui s’époumone à ne divulguer que de l’information…non…des ordres…au personnel et puis s’étonne…que c’est le désordre…
nous n’aurions rien à redire s’il s’agissait d’heureuses nouvelles, du style vous serez toutes et tous augmenté de 25% par exemple, ou que vos vacances peuvent toutes s’allonger de 25%,
qu’à partir d’aujourd’hui, on ne travaille plus ni les lundi, ni les vendredi et qu’en compensation des jours d’inactivités tout le monde reçoit une prime pour couvrir les frais liés à l’oisiveté…on pourrait établir une liste qui reprendrait ce que doivent faire les actionnaires pour pouvoir nous donner des ordres…
ne payez plus vos loyers ! les actionnaires s’en chargent,
ne payez plus vos vacances ! les actionnaires vous les offrent,
éléctricité ?gaz ? mazout ? ne payez rien…les bons actionnaires distribuent 25% de leurs dividendes… etc…
hélas, la réalité est tout autre…nous ne sommes pas chez l’oncle Walt, et les ordres sont d’un tout autre ordre… la direction impose que malgré les bons et loyaux services des employés…le haut management est contraint de devoir faire travailler les marocaines et les marocains de Rabat, en lieu et place des employé/e/s qui professent depuis plus de dix ans en Belgique, selon le patronat : unique solution pour conserver leur contrat…en cause la sacro sainte compétitivité, sous l’allure d’un benchmark…un truc qui, comme les agences de notations, évalue les entreprises les plus performantes et soumettent les autres au même régime…diète, austérité, rigueur, exigence et suppression des coûts…
premier visé…visiblement…le coût de l’humanité…
heureusement, ce sont les femmes et les hommes qui créent les richesses et l’activité, heureusement que les travailleuses et les travailleurs du contrat de service GDF SUEZ ne sont pas inhumains et qu’ils ont bien compris leur force et leur toute puissance…en assemblée générale, une grande partie de l’entité, s’est prononcée pour la défense des droits fondamentaux et, qu’en cas contraire, ils n’hésiteraient pas à soumettre leurs souhaits de lutte à la délégation syndicale d’Econocom afin qu’un équilibre puisse être trouver entre les représentants du capital et les représentants du travail…
qu'est ce qui t'as pris bordel de casser la cabane, de ce panoupanou, puis sortir ton canif, ouvrir le bide de primitif, qui débarquait de sa savane? la saloperie camarade, la saloperie camarade la saloperie camarade, la saloperie camarade qu'est ce qui t'as fait prendre cet emlployé diaphane, contre son gré, et sous ses griffes, des regrets tu réponds négatif, mais encore tu ricanes. la saloperie camarade, la saloperie camarade, la saloperie camarade, la saloperie camarade qu'est ce qui te prends de tous ailleurs nous caser, de nous klaxonner la gueule, sombrer sur les récifs de ta cupidité, et revoir ton passif en respirant la colophane la saloperie camarade, la saloperie camarade la saloperie camarade, la saloperie camarade il s'en passe des choses sous ton crâne rasé, c'est plein de tristesse et de kif, tu te vois encore en tenue léopard, bourrée d'explosifs, sauter de ton aéroplane. la saloperie camarade, la saloperie camarade la saloperie camarade, la saloperie camarade, camarade, camarade, camarade, camarade.